Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer.
A vous, amis des contes, des légendes, des êtres et des lieux étranges; amis des jardins, des champs, des bois , des rivières ; amis des bêtes à poils, à plumes ou autrement faites ; amis de toutes choses vivantes, passées, présentes ou futures, je dédie cet almanach et ses deux petits frères: auboisdesbiches et gdscendu.
Tantôt chronique, tantôt gazette, ils vous diront le saint du jour, son histoire et le temps qu’il vous offrira ; ils vous diront que faire au jardin et les légendes des arbres et des fleurs. Ils vous conteront ce qui s’est passé à la même date en d’autres temps. Ils vous donneront recettes de cuisines et d’élixirs plus ou moins magiques, sans oublier, poèmes, chansons, mots d’auteurs, histoires drôles et dictons… quelques extraits de livres aimés aussi et parfois les humeurs et indignations de la chroniqueuse.
Bref, fouillez, farfouillez, il y a une rubrique par jour de l’année. Puisse cet almanach faire de chacun de vos jours, un Bon Jour.
Et n'oubliez pas que l'Almanach a deux extensions: rvcontes.blogspot.fr où vous trouverez contes et légendes de tous temps et de tous pays et gdscendu.blogspot.fr consacré au jardinage et tout ce qui s'y rapporte.
mardi 15 février 2011
A chacun son bouquin...
Deuxième refrain
lundi 14 février 2011
LES BONNES MANIERES A LA GUERRE
Quand un Inférieur croise un Supérieur, l’Inférieur doit saluer le Supérieur.
Cette charmante coutume s’appelle le salut. Pour saluer, l’Inférieur porte sa main droite là, en mettant ses doigts comme ça. Quand un Supérieur entre dans la chambre d’un Inférieur, ce dernier doit saluer en bombant le torse. S’il n’a plus de torse, comme cela arrive à la guerre, il doit bomber les genoux, ou n’importe quoi de bombable. C’est la position du garde-à-vous. Dans le garde-à-vous, on doit mettre le petit doigt sur la couture du pantalon, et les pieds comme ça.
Attention : avant de saluer un Supérieur, il faut être sûr que c’est un supérieur. Un supérieur est un Gradé. Un Gradé se reconnaît au nombre de ses *burettes. Plus le gradé a de barrettes, plus le salut doit être servile.
Le salut est très joli. L’Inférieur doit y mettre beaucoup de respect pour le Supérieur, sauf en cas d’attaque thermonucléaire, où le salut pourra être effectué un peu plus vite.
Après le salut, il arrive que le Supérieur s’adresse à l’Inférieur. Celui-ci doit alors répondre
en tournant humblement son béret entre ses doigts gourds.
A un général, on dit « mon général »
A un colonel, on dit « mon colonel »
A un adjudant, on dit « mon adjudant »
A un deuxième classe, on dit « ta gueule », à condition d’être adjudant.
Pierre DESPROGES
*Attention, typo : je dis « barrettes ».
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dimanche 13 février 2011
A chacun son bouquin...
Ces paroles pleines de lyrisme et de poésie , d'un peuple à qui on a tout pris: son pays, ses traditions, sa religion et qui a su sauver son âme...
Agnès, je pense à toi.
P.
jeudi 10 février 2011
A chacun son bouquin...
P.
mercredi 9 février 2011
A chacun son bouquin...
Et c'est pas vrai! c'est comme pour les gens, plus il y en a plus c'est beau
lundi 7 février 2011
A chacun son bouquin...
J'avais pensé à Manhattan Transfer , mais j'ai cru comprendre que la "Grosse Pomme" (l'autre, pas moi) ne t'avait pas laissé que de bons souvenirs. Cette ambiance là te conviendra mieux me semble-t-il:
dimanche 6 février 2011
A chacun son bouquin...
"Ca cause tout seul!" comme disait madame Odette, une des modistes de l'atelier de ma mère...
Aujourdh'ui, c'est à Jean-Jacques que j'offre une nouvelle d'André Pieyres de Mandiargues: